En raison des fortes chaleurs qui touchent le Département d'Ille-et-Vilaine depuis quelques jours, le risque d'incendie est élevé dans les zones naturelles, notamment en forêt de Brocéliande. Neuf feux de forêt sur dix sont d’origine humaine... et un sur deux est lié à une imprudence, il est donc essentiel de respecter certains gestes afin d’éviter tout départ de feu, que ce soit en forêt ou près de zones de nature comme les friches, les champs, les landes ou les bords de route.

Feux de forêt : les bons gestes pour les éviter 

  • Plan alimentaire territorial : pour une alimentation locale, durable et saine

    Soumis par eniard le

    Pour s’adapter à la vulnérabilité environnementale et soutenir le développement d’une alimentation locale, durable et saine, le Département a décidé de mettre en place un plan alimentaire territorial en Ille-et-Vilaine. Objectif : accélérer le changement profond de notre alimentation en s’appuyant sur les territoires et les partenaires du Département.

    Les conséquences de la crise sanitaire et l'épisode de sécheresse de l'été 2022 ont rappelé la vulnérabilité de notre système alimentaire. Ces crises ont touché plus durement les publics plus fragiles. Le renforcement de la résilience alimentaire est un enjeu prioritaire, qui concerne toute la société et à toute échelle. 

    Objectifs du Plan alimentaire territorial : 

    • Accompagner le changement des pratiques alimentaires au sein des restaurations collectives (scolaires, Ehpad, restaurant administratif, établissements de l'aide sociale à l'enfance...) et auprès des publics fragiles. 
    • Poursuivre le soutien à une agriculture durable, viable économiquement et ancrée sur le territoire, en cohérence avec la politique départementale de l'eau.
    • Mobiliser le territoire bretillien : encourager, soutenir et accompagner les initiatives locales. 

    Pour répondre aux différentes orientations de ce plan, le Département s’engage notamment à :

    • Tendre vers 50% de bio et local dans les restaurants scolaires des collèges à l’horizon 2028.
    • Lutter contre le gaspillage alimentaire dans les structures en lien avec la collectivité.
    • Initier 1000 projets en agriculture biologique ou paysanne avec des dispositifs d’aides à la conversion et/ou à la diversification.
    • Dans le cadre de ce plan alimentaire territorial, un conseil consultatif de gouvernance alimentaire a été créé et associe les acteurs et actrices du territoire bretillien pour encourager les initiatives, les expérimentations et créer des actions partenariales complémentaires.
       

    Le projet départemental

  • Une agriculture écologiquement responsable

    Soumis par eniard le

    Forts de 33 000 emplois, les secteurs de l’agriculture et de la production agroalimentaire sont de première importance pour l’Ille-et-Vilaine. Le Département se mobilise pour les accompagner au travers d’aides directes et par des partenariats avec les organismes agricoles bretilliens. 

    L'agriculture fait face à de nombreuses incertitudes: climatiques, énergétiques, sociétales et économiques. Avec les épisodes de sécheresse et la crise énergétique, l'agriculture et l'alimentation sont au centre des préoccupations avec l'enjeu essentiel de maintenir ces activités vitales dans une économie et une vie sociale également profondément impactées. 

    Le soutien aux circuits courts et la diversification agricole permettent de renforcer la résilience des systèmes. De plus, la pyramide des âges des actifs agricoles met en évidence de nombreux départs à la retraite des exploitants agricoles dans les 10 ans à venir : près de trois départs pour une installation. De nouveaux candidats à l’installation, non issus du milieu agricole, arrivent en Ille-et-Vilaine et portent des projets agri-ruraux innovants, qui demandent à être accompagnés.

    Une agriculture durable et autonome

    Le Département  poursuit son objectif de promouvoir et renforcer une agriculture durable et autonome, viable économiquement et ancrée dans son territoire. 

    Concrètement, le Département propose des aides directes aux exploitations agricoles : aides à l’installation, à la diversification, aux productions sous signe de qualité, à la transition vers des systèmes plus durables, soutien aux agriculteurs en difficultés.

    La politique départementale pour l'agriculture comprend également des partenariats sous forme de subventions de fonctionnement avec les principaux organismes agricoles.

    Plan sécheresse

    Dans le cadre du plan sécheresse, trois adaptations des dispositifs d'aides sont proposées :

    • Le maintien des taux de subventions bonifiés est assuré dans le cadre du plan de relance ;
    • Le lancement d'un appel à projets autour, notamment, des économies d'eau est en cours d'étude ;
    • L'appel à projets Biodiversité lancé dans le cadre du plan de relance est renouvelé.

    LABOCEA

    La participation du Département au Groupement d’intérêt public (GIP) LABOCEA contribue également à cette stratégie en faveur de la santé animale, la sécurité sanitaire, l’alimentation et la protection de l’environnement.

    LABOCEA regroupe les outils d’analyse des départements des Côtes d’Armor, du Finistère, de l’Ille-et-Vilaine et de Brest Métropole. Il se situe aux tous premiers rangs sur le plan national, avec près de 600 agents. Il participe, par son expertise et ses conseils, à répondre aux enjeux de la sécurité sanitaire de l’agriculture, de l’alimentation, de l’eau et de l’environnement.

    Chiffres clefs

    7001 exploitations agricoles en Ille-et-Vilaine

    10,8 % de la surface agricole est bio

    224 exploitations agricoles ont bénéficié d'aides en 2022

    Le projet départemental

  • Pactes des mobilités locales : coconstruire avec les territoires

    Soumis par eniard le

    Lors de la session de l'assemblée départementale des 23 et 24 juin 2022, le Conseil départemental a présenté une méthode pour mettre en œuvre les pactes de mobilités locales contractualisés avec les territoires. Ces pactes sont rédigés avec chaque intercommunalité, dans une logique de co-construction, avec pour objectif premier de développer les mobilités alternatives. 

    Les modes actuels de déplacement, qui privilégient la voiture individuelle, engendrent indiscutablement de forts impacts négatifs sur le climat en général, et sur notre territoire en particulier sur le plan :

    • Environnemental : émission de gaz à effet de serre, artificialisation et fragmentation des espaces naturels;
    • Économique : dépendances aux énergies fossiles, hausse des prix ;
    • Social : précarité énergétique, congestion routière, conflit de voirie et dégradation de la qualité de vie ;
    • et sanitaire : pollution atmosphérique, nuisances sonores.

    Face à ces enjeux, le Département prend toute sa part en agissant résolument au plus près des territoires pour favoriser le développement des mobilités décarbonées.

    Le Département a ainsi décidé de mieux prendre en compte l’accélération des transitions en renforçant les mobilités alternatives à l’autosolisme et aux hydrocarbures partout où cela s’avère possible, soit directement par ses actions en tant que maître d’ouvrage, soit indirectement en s’associant aux actions volontaristes de ses partenaires dans ce domaine des mobilités plus durables.

    Pour ce faire, le Département a proposé à chaque Établissement Public de Coopération
    Intercommunale (EPCI) bretillien la contractualisation d’un pacte des mobilités locales, outil de coconstruction des politiques de mobilités des territoires. L’ambition de ces pactes est d’aboutir à une stratégie cohérente, lisible et partagée, en lien avec les besoins du territoire et de ses habitant.es, permettant d’acter un engagement réciproque de mise en œuvre d’un plan d’actions, dans une logique de complémentarité en fonction des compétences de chacun.

    L’élaboration de ces pactes des mobilités locales s’organise autour de 3 axes :

    Un portrait des mobilités du territoire 

    Le premier axe dressera un portrait des mobilités de chaque intercommunalité le plus exhaustif possible en reprenant l’ensemble des schémas et plans actés ou à venir par les collectivités et en réalisant des études complémentaires au besoin. Des propositions pour améliorer et développer les mobilités alternatives (covoiturage, transports en commun, vélo…) seront ensuite faîtes. 

    La priorisation des projets d’infrastructures

    Le deuxième axe concernera la priorisation des projets d’infrastructures, avec, d’une part, les opérations dites de priorité 1 pouvant démarrer rapidement (infrastructures permettant de développer les modes actifs et les usages partagés de la voiture, et travaux visant à sécuriser ou requalifier le réseau routier existant) et d’autre part, les opérations de priorité 2 qui seront arbitrées au regard des conclusions d'études complémentaires et des propositions formulées à l’issue de la consultation citoyenne (projets conduisant à la création de nouvelles infrastructures).

    La consultation et la participation citoyenne : elle permettra aux habitant.es concerné.es de prendre part aux réflexions sur les mobilités de leur territoire. Cette participation citoyenne peut prendre 2 formes : des comités citoyens composés de 20 à 30 citoyens représentatifs de la population, sont mobilisés sur Fougères Agglomération et Vitré Communauté ou une consultation numérique est organisée via la plateforme « jeparticipe.ille-et-vilaine.fr » pour les autres territoires concernés par un pacte des mobilités locales. 

    Avec un objectif de finalisation fin 2024, l’élaboration de ces pactes de mobilités locales débute par une version initiale constituée par un acte d’engagement dès le lancement de la démarche avec chacun des EPCI, de façon à engager la mise en œuvre de projets d’infrastructures dès 2023, via des projets en maîtrise d’ouvrage départementale et/ou via le financement, par le Département, des projets prioritaires réalisés par les intercommunalités ou les communes.

    Le projet départemental

  • Avec le vélo, repensons nos modes de déplacement !

    Soumis par eniard le

    Face aux enjeux de transitions liés au changement climatique, le Département s'engage au travers d'actions concrètes visant à développer le vélo. 

    Développer l'usage du vélo : des avantages multiples

    Comparé à d'autres pays européens qui utilisent déjà largement le vélo comme une alternative à la voiture individuelle, la France a encore une marge de progression importante. Ainsi, en 2017, la part modale du vélo était de 3 % en France contre 10 % en Allemagne et 29 % aux Pays Bas.

    La généralisation de l'usage du vélo répond à plusieurs enjeux :

    • Des enjeux de santé publique : se déplacer à vélo constitue aussi un moyen de faire de l'exercice physique régulier et ainsi de favoriser l'endurance cardio-vasculaire.
    • Des enjeux environnementaux : l'usage du vélo permet de lutter contre le réchauffement climatique et contre l’émission de polluants atmosphériques. En effet, le transport représente 31 % des émissions de gaz à effet de serre,  contribuant ainsi au réchauffement  climatique. Parmi les émissions liées à la circulation routière, 54 % sont dues aux véhicules particuliers.

    Des enjeux économiques : face à l’inflation des couts de déplacement, le vélo représente une alternative économique qui permet de réduire les dépenses liées au déplacement. 

    Le vélo : un maillon des modes de déplacements multimodaux

    Prendre son vélo pour parcourir 3 kilomètres afin de rejoindre une gare, une station de métro, puis finir son trajet à pied : voilà un exemple de déplacement multimodal. Le principe : utiliser plusieurs modes de transport/déplacements distincts pour rejoindre sa destination. Le vélo apparaît comme un "véhicule" particulièrement adapté aux courtes distances s'inscrivant de fait dans un transport multimodal. En effet on estime qu'un vélo classique permet d'effectuer en moyenne une distance d'environ 5 kilomètres et un vélo à assistance électrique 10 kilomètres.

    Ces petits trajets de quelques kilomètres sont encore très fréquemment effectués en voiture. Selon une enquête (« Ménages-Déplacements en Ille-et-Vilaine », réalisée en 2018), plus d’un tiers des déplacements de 500 m à 1 km sont réalisés en voiture. Ce chiffre monte à 58 % pour les trajets entre 1 km et 2 km. Ces trajets courts (inférieurs à 5 km) représentent un fort potentiel de report modal cyclable, en particulier avec le développement des vélos à assistance électrique.

    Afin de développer l‘usage du vélo pour les déplacements du quotidien des bretilliens, le Département agit sur l’infrastructure, les services et la sensibilisation à la pratique.

    • Un budget de 70 M€ pour développer des infrastructures à haut niveau de service dédiées à la pratique cyclable pour tous les usagers

    Ce programme déterminé pour les 7 prochaines années incitera les Bretilliens à modifier leurs manières de se déplacer. Co-construit pendant 3 ans avec l’ensemble des territoires du département, ce programme d’investissement a été voté par les conseillers départementaux, lors de la session du 22 avril 2021.

    Concrètement, le Département s’engage dans la création d’un réseau cyclable à haut niveau de service à horizon 2028 permettant de rejoindre les pôles de mobilité les plus importants (gares, pôles d’échanges multimodaux, pôle d’emploi et d’étude, …) par les tous types d’usagers et de vélo.

    La réalisation de ces aménagements par le Département sont intégrés au Pacte des mobilités locales conclu avec chaque intercommunalité. En contrepartie,, ces dernières s’engagent à mettre en œuvre des actions en faveur des mobilités durables en cohérence avec les besoins et les enjeux du territoire et de sa population, 

    Cette contractualisation engageante permet ainsi au Département de se positionner non plus comme simple aménageur mais bien comme fédérateur des différentes formes de mobilité dans les territoires.

    • Le développement de stationnement vélo au sein des sites départementaux et des collèges publics bretilliens

    La sécurisation des vélos est, en effet, essentielle pour développer la pratique. Un programme de déploiement verra le jour en 2024 s’appuyant sur un référentiel (type de stationnement, type d’abris, emplacement, capacité, ...) prenant en compte les besoins présents et futurs et les spécificités de chaque site.

    • La sensibilisation à la pratique auprès des publics qui relèvent des compétences du Département 

    Il n’y a pas que les actifs qui peuvent tirer avantage du vélo comme mode de déplacement au quotidien. Le Département met en place des sessions de formation et de sensibilisation pour les personnes en insertion, âgées, handicapées et collégiens afin que chacun puisse acquérir son indépendance en matière de mobilité.

    Cartographie des liaisons cyclables réalisées à horizon 2028

    Voir la carte

    Chiffre clef

    250 km de pistes cyclables à horizon 2028

    Le projet départemental

  • Réseau Ille & Vélo : à quoi ressembleront les pistes cyclables départementales ?

    Soumis par eniard le

    Le référentiel du réseau Ille & Vélo précise les caractéristiques techniques. Tout a été pensé pour la sécurité et le confort des cyclistes avec la création de pistes colorées, d'une largeur de 3 mètres et bien séparées des automobilistes.

    70 millions d'euros alloués à la création du réseau vélo

    La création d'un réseau cyclable attractif est au cœur du programme Mobilités 2025 présenté en session de l'assemblée départementale d'avril 2021. Sa réalisation va représenter un budget d’envergure de 70 millions d'euros sur 7 ans.

    Des pistes sécurisées pour donner envie de faire du vélo

    Schéma piste cyclable

    A partir de l'étude de différents référentiels européens de réseau cyclable de haut niveau de service, le Département a défini ses propres principes techniques (largeur, type de revêtement, régime de priorité, …) pour imaginer des pistes répondant aux enjeux de sécurité, de confort et de rapidité de déplacement.

    Des pistes colorées et dissociées du réseau routier

    Les futures pistes seront séparées des voitures, pour un usage exclusif des cyclistes et une sécurité optimale. La couleur et la dissociation de ces pistes visent à mieux alerter les usagers et à annoncer la priorité donnée aux cyclistes. Les pistes seront également implantées en tenant compte de marges de retrait évitant les obstacles latéraux. Outre l’objectif de sécurité, ces marges de retrait auront pour bénéfice d’optimiser le confort du cycliste.

    Des pistes d'une largeur de 3 mètres

    Une autre préconisation technique consiste à créer des pistes d'une largeur roulable minimum de 3 mètres. Objectifs : faciliter les dépassements et pouvoir accueillir un important flux de cyclistes, ainsi que des vélos cargos ou adaptés.

    Des revêtements adaptés aux vélos à assistance électrique

    Pour s'adapter à tous les usages, les revêtements des pistes seront adaptés à la vitesse des vélos à assistance électrique de 25km/h, de plus en plus utilisés.

    Des pistes prioritaires sur le trafic routier dès que possible

    Les aménagements prévus aux intersections se feront au regard de différents critères : la vulnérabilité des usagers, le trafic, le type de trafic, la vitesse, les visibilités existantes. Pour garantir la fluidité du trafic lorsque les conditions de sécurité sont réunies, la priorité sera donnée aux cyclistes sur le trafic sécant. 

    Des aménagements spécifiques

    Pour les giratoires, la circulation cycliste sera, dès que cela est possible, extérieure à l’anneau et indépendante du trafic motorisé. Dans certains cas, des ouvrages (passerelle, tunnel) pourront être réalisés, lorsque la sécurisation des cyclistes n’est pas garantie.

    A noter qu’il s’agit d’un référentiel et non d’une norme. Les caractéristiques citées ci-dessus sont des objectifs à atteindre qui peuvent éventuellement être adaptés en fonction des particularités des projets.

    Où vont être aménagées ces nouvelles pistes ?

    Ce "haut niveau de service" sera réservé aux axes avec un fort trafic cyclable journalier. 24 liaisons cyclables ont d’ores et déjà été identifiées avec les territoires parmi lesquels certaines sont déjà mise en service ou en travaux .

    • Saint-Sauveur-des-Landes > Pôle d’échange multimodal de Romagné ( en service)
    • Châteaugiron > Domloup > Chantepie
    • La Mézière > La Chapelle-des-Fougeretz (en service)

    Construction des pistes cyclables : mode d'emploi

    Video thumbnail

    Chiffre clef

    24 pistes cyclables à haut niveau de service d'ici la fin du mandat

    Le projet départemental

  • Protéger et restaurer le patrimoine

    Soumis par eniard le

    Sites mégalithiques bretilliens, site industriel de Lormandière à Chartres-de-Bretagne... Le Département pilote ou participe à la conservation des attraits de certains lieux remarquables d'Ille-et-Vilaine.

    Églises non protégées et associations

    La valorisation de l'histoire et de l'identité bretilliennes passe par la protection de son patrimoine : cultuel, industriel ou mégalithique, pour lequel le Département apporte son sontien financier. Objectif ? Aider les petites communes à restaurer les édifices religieux non inscrits ni classés monuments historiques. Sans oublier leurs trésors patrimoniaux : orgues, tableaux, vitraux, autels, statues, qu'ils soient monuments historiques ou non.

    Le Département soutient également les fouilles archéologiques et la valorisation de sites industriels ou mégalithiques, en apportant son concours financier et technique à une dizaine d'associations départementales.

    Antiquités et objets d'arts d'Ille-et-Vilaine

    La préservation et la mise en valeur des antiquités et objets d'art fait également partie des objectifs du Département. Au quotidien, le conservateur des antiquités et objets d'art sillonne les communes d'Ille-et-Vilaine pour veiller sur les objets protégés au titre des Monuments historiques, repérer des joyaux susceptibles d'être inscrits ou classés au titre des Monuments historiques, conseiller les propriétaires sur d'éventuels besoins de protection, restauration ou mise en valeur.

    Tableaux, statues, vitraux, pièces d'orfèvrerie. De quoi préserver l'histoire individuelle et collective et permettre aux bretilliens et bretilliennes de découvrir la richesse patrimoniale et culturelle de l'Ille-et-Vilaine.

    Le projet départemental